Tour de France : comment les cyclistes urinent-ils durant la course?

Vous vous posez peut-être la question en voyant les coureurs du Tour de France enchaîner des étapes de 4 à 6 heures ou face à l'intensité de certaines courses cyclistes. Comme tout un chacun, les cyclistes ont des envies pressantes qui ne peuvent attendre. Il y a plusieurs façons de répondre à ce besoin :

La solution pratique : si l'intensité de la course est faible, les coureurs peuvent s'arrêter sur le bas-côté sans craindre d'être définitivement distancés. C'est le cas en début d'étape lorsque le peloton renonce à poursuivre une échappée qui vient de partir. Les cyclistes doivent toutefois rester à l'abri du regard des spectateurs, sous peine d'écoper d'une amende de la part des commissaires de course. La solution acrobatique : debout sur les pédales du vélo qui continue d'avancer, et l'affaire est entendue. La position demande une dextérité que tous les coureurs n'ont pas, mais elle a le mérite de faire gagner du temps. Existe aussi la variante avec le bidon, que des cyclistes font glisser dans leur cuissard en roulant. La solution peu académique : ne rien faire, juste se soulager. Certains coureurs vantent cette technique par temps froid ou de pluie, ce qui permet de se rincer les jambes en même temps…

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A noter que la grosse commission est plus rare, mais des désagréments surviennent parfois. Sur le Giro 2017, le leader du classement Tom Dumoulin avait ainsi perdu une partie de son avance en s'arrê...


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