Top Chef (M6) - Pavel quitte l'aventure aux portes des quarts de finale : "Au début, j'avais clairement la pression"

Pourquoi avez-vous voulu participer à Top Chef ?

Pavel : C'est la production qui m'a contacté. Je trouvais ça plutôt cool. Seul, je ne l'aurais jamais fait. Je n'aurais jamais candidaté, je pense. En tout cas, là, sur le mood du moment, je n'aurais pas du tout candidaté. Peut-être que plus tard, je l'aurais fait mais j'avoue que j'ai été plutôt content qu'on me contacte. Ça s'est fait naturellement.

Pas d'hésitation au moment d'accepter ?

Non, pas vraiment. Il y avait eu un bon match avec la personne en charge du casting, elle m'a mis direct dans les bonnes conditions. Donc, je me suis lancé.

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Aviez-vous des objectifs en vous lançant dans l'aventure Top Chef ?

J'avais l'objectif de passer la première épreuve. Je me disais qu'il fallait absolument que je le passe sinon, c'était la mer*e, j'allais me faire chambrer par mes potes, je ne serais pas rentré chez moi (rires). Clairement, j'aurais changé de ville parce que mes potes se seraient bien foutus de ma gueule. Et puis à ce moment-là, j'avoue que je ne pensais pas vraiment à la suite.

Dès le début de l'aventure, on assiste à un grand coup de coeur entre vous et Dominique Crenn, c'est comment ?

La cheffe Crenn, c'est un peu la réincarnation de ma grand-mère décédée. Elle a la même personnalité que ma grand-mère et que ma mère. Elle a un côté punk et c'est peut-être pas ce que je montre, mais c'est ce que je suis totalement à l'intérieur. Et du coup le feeling est passé naturellement entre nous. Elle a eu les bons mots aussi. Je pense qu'elle a su me manager comme il fallait le faire. Donc en soi, ça s'est vraiment fait naturellement et ça s'est bien fait. Et on est d'ailleurs encore en contact et même assez fréquemment. Genre toutes les semaines, on s'écrit même si elle m'a mis un coup de couteau dans le dos en choisissant d'abord Valentin (rires).

Vous l'avez mal pris ?

Non, ce n'était pas grave, je ne l'ai pas du tout mal pris, je suis à la cool, j'étais déjà reconnaissant d'être encore là chaque semaine qui passait donc c'était vrai...

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