The Voice - Bigflo et Oli : "On a gagné en légitimité cette saison"
Par rapport à l’année dernière, on vous sent bien plus à l’aise dans vos fauteuils rouges. N’est-ce qu’une impression ?
Bigflo : Non, c’est bien vrai. Nous sommes beaucoup plus à l’aise. Nous ne sommes plus en phase de « découverte » et nous connaissons maintenant très bien les équipes. Franchement, ça ressemble beaucoup au lycée. Quand tu entres en seconde, tu cherches les salles de cours, la cantine, par où il faut faire la queue, tu dois apprendre à connaître les surveillants… En première, tu es plus à l’aise. Tu commences à avoir tes repères. Eh bien, The Voice, c’est pareil ! (Rires)
Oli : On est plus à l’aise aussi, car après notre première participation, on a eu de très bons retours de la part de notre entourage, de nos potes, des gens avec qui l’on travaille… On a été assez surpris du bel accueil que l’on nous a réservé, notamment celui d’une tranche d’âge qui ne nous connaissait pas forcément. Tout ça nous a mis dans un écrin agréable pour entamer la deuxième année en toute confiance.
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Bigflo : L’ambiance, l’équilibre dans le jeu et les stratégies sont différents. Mika est une sacrée rencontre. On a beaucoup de respect pour lui, pour sa carrière, et on le saoule de questions : savoir qui il connaît à Los Angeles, avec qui il a fait des featurings (collaborations, ndlr)… (Rires)
Oli : Une belle amitié est née entre nous. L’ambiance est très bon enfant et nous sommes parfois dissipés. Peut-être trop, d’après la production. Voilà pourquoi elle nous a éloignés de Vianney ! (Rires)
L’an dernier, ce n’était pas évident pour vous de convaincre les Talents de rejoindre votre équipe. Comment êtes-vous parvenus à améliorer cela ?
Bigflo : On a gagné en légitimité cette saison, car les candidats ont regardé l’édition 2023, même si ça reste parfois compliqué. Les jeunes chanteurs, avec lesquels nous n’avons que peu d’années d’écart, vont plus naturellement avec ceux qui ont déjà plus d’expérience dans le métier.
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