Tesla Model Y : voici comment gagner quasiment 100 km d'autonomie

L'utilisation de logiciels pour restreindre la capacité des batteries dans l'industrie automobile, c'est une pratique qui ne date pas d'hier. En 2016, Tesla avait déjà employé cette technique sur sa Model S.

L'idée derrière tout ça, c'est de transformer des équipements en options payantes, une manière d'offrir des améliorations sans toucher aux composants physiques des véhicules, tout en justifiant cela comme une proposition offrant plus de choix aux clients.

L'essor des nouvelles "options" payantes après achat

En d'autres termes, quand vous achetez une voiture, celle-ci possède par exemple la fonctionnalité technique permettant d'accueillir, par exemple, les sièges chauffants, mais l'option est bloquée par l'intermédiaire d'un logiciel. Et il faudra payer pour la débloquer et ainsi profiter des sièges chauffants.
Les constructeurs mettent d'ailleurs en place certains modèles de financement que l'on pourrait considérer comme tirer par les chevaux, comme par exemple la mensualisation du déblocage de l'option en question, ou encore la "location" sur une durée déterminée. Par exemple, vous envisagez de faire un long trajet, vous décidez d'activer l'option régulateur de vitesse adaptatif pendant deux ou trois jours.
Ces nouvelles "techniques" pourraient être perçue comme une manière pour les constructeurs d'augmenter leurs profits au détriment de la transparence. Les clients, croyant que certaines fonctionnalités sont incluses dans leur achat, pourraient se sentir lésés lorsqu'ils découvrent qu'ils doivent payer un supplément pour y accéder.

Une mise à jour qui ne concerne que les États-Unis (pour le moment)

Moins tiré par les cheveux mais dans le même esprit, Tesla vient d'ouvrir une option surprenante sur le catalogue de son Model Y Autonomie Standard Propulsion,...Lire la suite sur Autoplus