Tesla : campagne massive de rappels suite à un bug logiciel

Tesla a été pionnier dans la technologie de conduite autonome. Avec son fameux système Autopilot, le constructeur américain a démocratisé cette technologie. Au point de pousser plusieurs de ses concurrents à accélérer leurs recherches pour développer la leur. Mais, moins connue que l’Autopilot, la firme d’Elon Musk est aussi à l’origine du FSD, encore plus poussé. Le « Full Self-Driving », pour conduite entièrement autonome, n’est disponible pour l’heure qu’aux États-Unis. Par rapport à l’Autopilot, il y ajoute la reconnaissance des feux et des panneaux de signalisation. C’est une option payante, facturée 7 500€ en plus de celle de l’Autopilot. Le FSD constitue une assistance de niveau 2, qui demande de garder tout de même les mains sur le volant. Le conducteur reste donc maître de son véhicule, et responsable en cas d’accident.

Le FSD bientôt en Europe…mais en difficulté aux États-Unis

Cette option devrait prochainement être disponible en Europe, qui a récemment fait évoluer sa législation quant à la conduite autonome. Ainsi, en France et dans le reste de l’Union, la conduite autonome de niveau 3 est désormais autorisée. Mais à part Mercedes, aucun constructeur, ni même Tesla, ne la propose encore. Seuls les porte-drapeaux allemands Classe S et EQS sont capables de telles prouesses. Revenons aux États-Unis où Tesla est aujourd’hui empêtré dans un nouveau scandale, à propos de ce FSD justement. La NHTSA, agence américaine pour la sécurité routière, a...Lire la suite sur Autoplus