Tennis: Djokovic assuré d'être numéro 1 mondial en fin de saison pour la 7e fois

Le Serbe Novak Djokovic, en se qualifiant samedi pour la finale du Masters 1000 de Paris aux dépens d'Hubert Hurkacz, s'est assuré de terminer l'année N.1 mondial pour la 7e année, soit une de plus que Pete Sampras.

Nouveau record historique pour Novak Djokovic: en se qualifiant samedi pour la finale du Masters 1000 de Paris aux dépens d'Hubert Hurkacz, le Serbe s'est assuré de terminer l'année N.1 mondial pour la 7e année, soit une de plus que Pete Sampras.

Depuis ses débuts professionnels en 2003, Djokovic, 34 ans, a terminé au sommet de la hiérarchie mondiale en 2011, 2012, 2014, 2015, 2018, 2020 et donc 2021. Cette saison, il a notamment remporté les trois premiers Majeurs (Open d'Australie, Roland-Garros, Wimbledon) et a joué la finale de l'US Open pour tenter de réussir un rarissime Grand Chelem. Il en a été empêché par Daniil Medvedev (2e mondial) qui, jusqu'à samedi, pouvait encore également le priver du record du nombre d'années finies en tant que N.1.

Djokovic ne s'en cachait pas, ce record était l'un de ses grands objectifs, comme le record de titres en Grand Chelem qu'il partage avec Roger Federer et Rafael Nadal (20). Ses deux grands rivaux ont terminé cinq saisons sur le trône mondial: 2004, 2005, 2006, 2007 et 2009 pour le Suisse, 2008, 2010, 2013, 2017 et 2019 pour l'Espagnol.

"C'est la principale raison pour laquelle je suis là", avait convenu Nole vendredi après sa qualification pour les demies.

Sa 54e finale de Masters 1000

Pour y parvenir, il a battu samedi Hurkacz (10e) 4-6, 6-0, 7-6 (7/5). Dimanche, à l'issue de sa 54e finale de Masters 1000 (record), il aura l'occasion de s'adjuger seul un nouveau record avec un 37e titre dans cette catégorie de tournois juste en-dessous des Majeurs, soit un de plus que Nadal. Il devra pour cela battre Medvedev ou Alexander Zverev (4e) qui s'affrontent dans un remake de la finale 2020, remportée par le Russe.

Les deux hommes sont cette année encore deux des joueurs en forme:(...)


Lire la suite sur Paris Match