"On a tendance à oublier que je viens de la comédie" : Alban Lenoir, action hero, mais pas que !

Comment est venue l’idée de faire le second volet d’Antigang ?

À la sortie du premier film en 2015, nous avions déjà la volonté de potentiellement lancer une suite ou une franchise. Malheureusement, il nous a manqué un petit quota d’entrées pour que cela se réalise au cinéma. Grâce à Disney+, nous avons eu la possibilité de relancer notre projet, huit ans après. C’est formidable se retrouver, tous plus matures : cela donne un long-métrage vraiment différent du premier.

Il y a une véritable évolution pour votre personnage, avec toute une nouvelle palette de jeu qui va avec…

On a tendance à l’oublier, mais je viens de la comédie, avec Kaamelott ou Hero Corp. C’est un plaisir de pouvoir cumuler les genres, de jongler avec l’action, l’humour et l’émotion dans un même film. Je ne souhaite pas être étiqueté "acteur de film d’action". Même si je pense que c’est déjà trop tard ! (Rires). J’espère garder la liberté de pouvoir faire différents types de film.

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Comment s’est passée votre collaboration avec Cassiopée Mayance, qui joue votre fille ?

Cassiopée est une actrice incroyable. Dès les premiers essais, j’étais fixé : elle avait déjà le rythme de la comédie dans la peau. Elle était tellement professionnelle et talentueuse que finalement, il n’y pas eu beaucoup d’effort à faire pour faire naitre l’alchimie.

Il y a quelques années vous êtes devenu papa. La relation parent - enfant présentée dans le film a-t-elle trouvé une résonance particulière en vous ?

Lorsque qu’on devient parent, c’est sûr qu’on a une nouvelle perception des choses. Certaines scènes, qui ne nous touchaient pas par le passé, provoquent des choses en nous, nous rendent plus frileux. Devenir père change la vie, ce n’est pas anodin.

Vous tournez vous-même vos scènes d’action. Est-ce quelque chose d’essentiel pour vous ?

En tant que spectateur, je ne veux pas voir un plan "triché" parce que l’acteur principal a demandé une doublure. L’authenticité dans les scènes d’action est, selon moi, une force pour les films e...

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