TÉMOIGNAGE. « Je souffre de pittakionophobie, la peur démesurée des autocollants »

Tout a commencé dans sa plus tendre enfance. À l'époque, Anna Smith Higgs a dû emménager dans une nouvelle chambre après le divorce de ses parents. Elle a donc hérité de deux armoires recouvertes d'autocollants. Elle était loin d'imaginer que ce détail anodin allait devenir une peur irrationnelle. "J'ai essayé d'enlever les autocollants. Je pense que c'est de là que tout est parti", raconte-t-elle au Mirror. Avant de poursuivre : "Ça m'a pris beaucoup de temps. J'ai tout essayé. Les briquets, le liquide vaisselle, tout. Et il en restait encore des morceaux sournois."

Cette phobie, appelée pittakionophobie, impacte son quotidien. Anna Smith Higgs, qui vit à Harlow dans le comté d'Essex en Angleterre, fait son possible pour les éviter. Notamment lorsqu'elle fait ses courses. Les fruits qui possèdent des autocollants, tels que les pommes ou les bananes, lui donnent des frissons dans le dos. "C'est la substance collante et désagréable qui se trouve au dos qui me rend malade", précise-t-elle. Un jour, elle a même empêché son fils Henry de rentrer chez eux car il avait des autocollants. Mais ce n'est pas le seul incident dont elle se souvient. "J'étais à l'école de mon fils et l'un des professeurs a essayé de me mettre un autocollant, c'était vraiment effrayant. J'ai crié 'Je n'aime pas les autocollants ! S'il vous plaît, enlevez-le !' Et il m'a juste regardé d'un air étrange", raconte-t-elle.

La phobie des autocollants, une peur réelle

Anna Smith (...)

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