TÉMOIGNAGE. « Je suis monitrice dans un donjon sexuel et voici mon expérience »

À côté de son métier de journaliste, Tamsin Wressel a voulu devenir monitrice dans un donjon sexuel. Un quotidien très particulier que l’écrivaine et rédactrice primée a voulu raconter dans un article dédié au sein du Huffington Post.

Basée à Londres, elle qui travaille avec JOYclub, a intégré cette communauté en ligne faisant campagne pour les droits des travailleuses du sexe. Pour se faire, elle est devenue monitrice de donjon sexuel lors de certaines soirées queer ou durant des soirées privées.

Monitrice de donjon sexuel et journaliste

Six heures du matin, Tamsin rentre chez elle en taxi, harnais dissimulé sous son short. Epuisée par la nuit qu’elle a passé, elle est aussi comblée. Car en plus de son métier d’écrivaine et de journaliste, Tamsin assure un autre emploi, celui de monitrice de donjon sexuel. Satisfaite d’avoir menée à bien sa mission, elle se sent « physiquement épuisée » mais « remplie d’amour et de connexion avec des inconnus » de la scène queer. « Les différents espaces dans lesquels je travaille optent pour des titres différents, les foules, les thèmes, les règles et les objectifs de chaque événement étant également différents » notait-elle.

S’adapter aux autres

Si l’origine de ce rôle n’est pas clair, la normalisation de ces pratiques dans le milieu queer, kink et sexuellement positifs, a nécessité d’assurer la sécurité des invités lors de fêtes dédiées au sexe. Ainsi, Tamsin assure une (...)

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