Témoignage : Comment j'ai soulagé mon arthrose du genou avec du plasma riche en plaquettes (PRP)

"J'ai 42 ans quand ma généraliste me lance : "Ça ressemble à de l'arthrose", pour justifier la douleur persistante qui pénalise mon genou droit. Je suis de plus en plus diminuée pour jouer avec mes enfants comme pour danser, ma passion - je fais du modern jazz, ainsi que du tango argentin avec mon mari. Au quotidien, je suis désormais contrainte de prendre l'ascenseur pour monter un seul étage. Ce diagnostic me fait l'effet d'une condamnation au handicap, car l'arthrose ne régresse pas, aussi je me rassure par le déni : elle se trompe, mon genou est juste la victime collatérale de notre récent déménagement, plutôt rock'n'roll, j'ai des contusions, voilà tout !

Comme si le poids de mon corps frottait sur une plaie

Ma médecin m'envoie chez un rhumatologue, ça m'agace tant que j'essaie de continuer à danser malgré tout, en appliquant une huile essentielle antalgique - de l'eucalyptus citronné en alternance avec de la gaulthérie - diluée dans du macérat huileux de millepertuis anti-inflammatoire. La douleur s'atténue en 20 à 30 minutes, mais transitoirement. J'ai si mal, comme si le poids de mon corps frottait sur une plaie à vif, au point qu'il m'est impossible de prendre appui sur mon genou, que je finis par me rendre chez le rhumatologue. “L'arthrose n'est pas une question d'âge, même si les années impactent l'usure du cartilage, me dit-il aussitôt. Il peut y avoir une composante héréditaire et des particularités squelettiques, qui accentuent (...)

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