TÉMOIGNAGE. "Mes croyances ont presque coûté la vie à mon fils et je m'en veux"

Lorsque Rebecca Evans a pris la décision de ne pas faire vacciner son fils Louis contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), elle pensait agir dans son meilleur intérêt. Influencée par un article controversé et depuis discrédité liant le vaccin à l'autisme, sa décision s'inscrivait dans un contexte de méfiance généralisée envers ce vaccin particulier. Cette époque, marquée par une peur palpable chez de nombreux parents, a vu la couverture vaccinale chuter, mettant en péril l'immunité collective si durement acquise, explique le Daily Mail. La réalité du danger que cette décision représentait ne s'est manifestée que seize ans plus tard, lorsque Louis, devenu adolescent, a contracté une forme sévère de la rougeole. Son hospitalisation d'urgence et son séjour en isolement ont été un réveil brutal pour Rebecca, confrontée à la possibilité de perdre son fils à cause d'un choix fait des années auparavant. Cette expérience a mis en lumière non seulement les risques individuels associés à la non-vaccination mais aussi le poids des regrets et de la culpabilité ressentis par une mère dont les croyances ont failli coûter la vie à son propre enfant.

Les conséquences de la non-vaccination

Le cas de Louis illustre de manière frappante les conséquences graves et potentiellement mortelles de la non-vaccination contre des maladies évitables comme la rougeole. Après avoir contracté la rougeole à l'âge de 17 ans, Louis a été confronté (...)

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