“La télé ne veut pas de culture” : Christine Bravo cash, elle nous confie son lourd constat
Le succès de Sous les jupons de l'histoire est au rendez-vous et les rediffusions du programme de Christine Bravo sont nombreuses. Lors d'un entretien en mai dernier, elle nous avait confié : "Depuis 10 ans, c'est rediffusé en boucle. Alors, ce qui est bien, c'est qu'il y a toujours des nouveaux jeunes à qui ça donne envie de fouiller l'histoire par le côté gossip, un peu people". "On a fait ça un peu comme un magazine people, on a repris les codes un peu accrocheurs. Mais au-delà de ça si les gens sont accrochés, ils vont aller se renseigner et c'est génial. Ça veut dire que Sous les jupons de l'histoire, est un vecteur de culture incroyable !", s'était-elle réjouie.
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"La télé ne veut pas de culture"
Christine Bravo a précisé que son émission était complémentaire avec celles de Franck Ferrand et Stéphane Bern "qui ont un ton complètement différent et néanmoins qui intéressent à l'histoire". "On ne sera jamais assez à en parler", a-t-elle assuré. Et de renchérir : "Quand les gens disent : 'Ah, mais ça ne vous embête pas ?'. Il y a pas de concurrence. C'est comme les séries policières, il y en a tellement mais, moi, je les aime toutes. Et là, sur l'histoire, malheureusement, il n'y a presque rien, parce qu'en fait, la télé ne veut pas de culture". "Alors, à mon époque, je viens d'avoir 68 ans (rires), il y avait des Bernard Pivot et il y avait moi aussi qui faisais des émissions la nuit. Mais maintenant... C'est une autre époque. Ce sont des émissions qui ne font pas d'audience ou alors, il faut racoler, c'est-à-dire qu'il faut inviter quelqu'un qui fait une polémique pour buzzer", a regretté Christine Bravo.
Et de poursuivre : "Nous, on invitait Paolo Conte, Léo Ferré… Vous comprenez ? On fonctionnait sans polémique, il n'y avait pas de réseaux sociaux, il y avait moins de chaînes, il y a...
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