Irak L’armée américaine reconnaît avoir tué 105 civils en mars

Le Pentagone a reconnu mardi avoir tué 105 civils dans un bombardement le 17 mars à Mossoul. Il s’agit de la frappe américaine la plus meurtrière contre la population depuis le début de la campagne anti-EI. Selon Washington, le but était d’abattre des snipers, mais des explosifs des jihadistes ont amplifié la détonation, détruisant un immeuble. La coalition admet officiellement avoir tué 501 civils depuis août 2014, mais d’après l’AFP, le bilan réel est certainement plus lourd. Par ailleurs, en Syrie, plus de 130 membres de familles de jihadistes ont été tués entre jeudi et vendredi par l’aviation de la coalition internationale et celle du régime ou de Moscou.



Retrouvez cet article sur Liberation.fr

Vendredi, la grève de la faim de 1 200 détenus «de sécurité» palestiniens en était à son quarantième jour.
Le président brésilien, Michel Temer, a retiré jeudi les troupes déployées la veille pour contenir des manifestations.
Des coptes exécutés sur la route d’un monastère
A Taormina, le G7 refroidi par Trump
Disparition de Denis Johnson, poète et romancier américain