Super-héros malgré lui (TF1) - Philippe Lacheau : "Parfois, je suis super trouillard"

Super-héros malgré lui, c’est un peu rêve de gosse qui se fracasserait sur la réalité du monde adulte…

Philippe Lacheau : C’est une très belle image. Je pense vraiment qu’il est important de garder son âme d’enfant. Vous venez de me dire quelque chose qui résonne en moi. Je l’ai fait inconsciemment, mais c’est complètement vrai.

C’est un film imaginé par des grands gamins pour des gamins et pour tous ceux qui souhaitent le rester…

C’est exactement ça. Moi, je n’ai pas envie de grandir et j’espère ne jamais grandir. Et les spectateurs qui vont le plus voir nos films sont des jeunes. Je suis en séance, en fait. Merci beaucoup pour vos analyses !

Pour paraphraser les propos de Spider-Man, un grand succès auprès des jeunes implique-t-il de grandes responsabilités ?

Il n’y a pas de message dans nos films. On essaie juste de divertir, ce qui est déjà pas mal en ces temps difficiles. On est en tournée et ce que je retiens, ce sont les remerciements des gens qui nous disent le bien fou que cette parenthèse de légèreté leur procure. Si l’on peut apporter ça, c’est gagné.

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Vous souvenez-vous de vous être un jour comporté en superhéros ?

Une fois, j’ai réussi des pâtes à la carbonara vachement bonnes ! Honnêtement, je n’ai jamais été héroïque. J’ai plutôt des souvenirs où je me suis comporté en antihéros.

En super-zéro, donc ?

Carrément ! Un jour, avec mon copain Julien Arruti, quand on était ados, on emmerdait un camarade et, tout à coup, il a lâché son gros boxer sur nous en mode « Chope-les ! » On a couru comme des fous, on a très peur des chiens. J’étais devant, le portail était ouvert, et je me souviens qu’une fois passé, je l’ai fermé derrière moi. Je vois encore Julien me regarder dans les yeux, ayant l’air de dire : « Pourquoi t’as fait ça ? »

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