Dans les stations balnéaires, les prix de l’immobilier grimpent en flèche

Depuis le début de la crise sanitaire, les résidences secondaires et semi-principales en bord de mer ont le vent en poupe. (Photo d'illustration)

D'après les chiffres de Meilleurs Agents, une hausse de 3 à 7 % en un an a été observée sur les littoraux, rapporte « Le Parisien ».

Acquérir un bien sûr la côte est plus que jamais un luxe. Depuis le début de la crise sanitaire, les résidences secondaires et semi-principales en bord de mer ont le vent en poupe. En effet, les Français, épuisés par les confinements et autres mesures restrictives, sont de plus en plus nombreux à fuir la ville pour profiter de l'air marin. Un exode qui a provoqué une flambée des prix sur les littoraux. Selon les chiffres de Meilleurs Agents, une hausse de 3 à 7 % en un an a été observée, rapporte Le Parisien. De ce fait, une pénurie de biens est à déplorer dans certains endroits.

Comme le soulignent nos confrères, Saint-Jean-Cap-Ferrat, en région Paca, s'avère être la ville la plus chère de l'Hexagone. Le prix moyen s'élève à 17 403 euros le mètre carré pour une maison. Elle est suivie de près par Saint-Tropez, avec une moyenne de 17 157 euros. « La demande est telle qu'aujourd'hui, j'ai des clients avec un budget de 3 millions d'euros qui ne trouvent pas de biens », explique Peggy Bancquart, responsable de l'agence Guy Hocquet Saint-Tropez. Et d'ajouter : « On peut même atteindre les 20 000, voire les 30 000 euros le mètre carré pour un bien avec vue sur mer. Et il n'est plus question de négocier. »

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