Daisy Ridley, L’Ascension de Skywalker (TMC) : "C’est assez sensationnel de pouvoir jouer la meilleure version d’une personne… puis la pire !"

Comment définiriez-vous ces six années consacrées à Star Wars ?

Daisy Ridley : Traverser ce genre d’expérience, alors que je n’avais qu’une vingtaine d’années, a été délirant et très riche d’enseignement. J’ai souvent eu l’impression d’être submergée par l’ampleur de ce qui se passait, tout en appréciant ce que je vivais. Au début, cela me paraissait énorme, voire effrayant, mais quelle expérience géniale !

Qu’est-ce qui a changé, pour vous, après Le Réveil de la Force ?

J’ai obtenu des rôles que je n’aurais pas eu la moindre chance de décrocher auparavant. Aujourd’hui, financer des films indépendants à petit budget devient de plus en plus difficile, et c’est génial que ma présence au casting puisse aider les producteurs à les faire aboutir. J’aime passer des films d’auteur aux grandes productions et, avant Star Wars, je n’aurais jamais pu le faire. J’ai eu la chance que Le Réveil de la Force soit ma première expérience de cinéma. Vivre quelque chose d’aussi positif est ce qu’il peut vous arriver de mieux.

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Dans le dernier plan de la bande-annonce du film, vous portez une cagoule noire et tenez un sabre laser rouge… Aviez-vous le sentiment d’être plus puissante en jouant ces scènes avec ce look "côté obscur de la Force" ?

Non, car Rey est déjà l’une des personnes les plus puissantes de cet univers. Mais ces scènes ont été très différentes et amusantes à jouer. Quand j’avais cette apparence ténébreuse, mes camarades de tournage ne venaient plus me voir aussi spontanément pour bavarder. Et cela me procurait une certaine excitation ! C’est assez sensationnel de pouvoir jouer la meilleure version d’une personne… puis la pire !

Vous avez été face à la caméra presque tous les jours pendant les sept mois qu’a duré le tournage. Comment avez-vous réussi à conserver toute votre énergie jusqu’au bout ?

En m’entraînant au gymnase pour me détendre physiquement et mentalement. J’étais tellement accaparée par le film que je n’avais plus le temps de voir mes proches : il me tardait de les retrouver. À la fin du tournage, j’étais si épuisée que je me suis enfer...

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