« Tales of Kenzera », « Supacell »… La science-fiction intègre enfin les afro-descendants

Black noir - Du jeu vidéo « Tales of Kenzera » aux séries « Supacell » ou « The Acolyte », les œuvres de science-fiction semblent de plus en plus accueillantes pour les personnages noirs

Un jeu vidéo afrofuturiste inspiré de la culture bantou, une série de super-héros noirs et londoniens, et même Star Wars qui donne les rôles pincipaux à deux personnages noirs et issus d’une culture inspirée de l’Afrique… Les exemples se multiplient depuis quelques mois : des personnages afro-descendants ou issus de cultures africaines tiennent le devant de récits de science-fiction.

Bien sûr, rien de nouveau – Black Panther est déjà passé par là –, mais le phénomène s’accentue. Ce vendredi, Netflix a mis en ligne Supacell, série anglaise qui se déroule de nos jours à Londres. Six personnes qui ne se connaissent pas se découvrent des pouvoirs de super-héros. Leur point commun ? Ils sont tous noirs. Et sans dévoiler l’intrigue, on peut dire que leur origine africaine a un rôle important dans l’histoire.

« Une perspective afro-britannique »

« Je voulais réunir six personnages noirs pour donner l’opportunité à six artistes noires de montrer leur créativité », a expliqué le showrunner de la série Andrew Onwubolu, plus connu sous son nom d’artiste, Rapman. Avec Supacell, Rapman affirme être « le premier noir à créer, écrire et diriger sa propre série Netflix. » Pour ce musicien et producteur, déjà réalisateur de cli(...) Lire la suite sur 20minutes

À lire aussi :
Summer Game Fest : Les jeux vidéo des mois à venir ne bouleversent pas le monde du gaming
Cette joueuse anglaise bat un boss d'« Elden Ring » par la pensée
« The Crew » : Les jeux vidéo en ligne n’appartiennent pas aux joueurs, et c’est la loi qui le dit
Mangas, animés, jeux vidéo : Avec « Cool Japan », le Japon veut quadrupler les exportations de ses industries créatives