N’oubliez pas les paroles (France 2) : Dernière compétition des Masters pour Toni ? Le champion nous parle de l'enjeu de cette édition 2023

Qu’est-ce qui a changé pour vous depuis votre participation à N’oubliez pas les paroles ?

Ma première participation date de 2017 et pour le coup, on arrive vers la fin de ce parcours. J’arrive à la sortie puisque je suis 32ème du classement. C’était une aventure géniale, ne serait-ce que la partie télévisuelle et la petite notoriété. Il y a aussi le fait d’avoir gagné beaucoup d’argent pour lequel je suis hyper reconnaissant. Même si ça ne fait pas le bonheur, ça y contribue (rires) ! Le niveau de cesse d’augmenter donc pour rester dans la course il faut travailler.

À lire également

N’oubliez pas les paroles (France 2) : Les internautes agacés par le manque de visibilité dans les Masters

Qu’avez-vous fait de vos gains ?

J’ai beaucoup investi dans l’immobilier avec mes gains et avec ma compagne, Virginie, qui est aussi une Maestro. Ça nous permet de recevoir des rentes immobilières et pour ma part, je pars d’ailleurs à la retraite à la fin du mois. J’étais sergent-chef et pour l’instant, je n’ai pas pensé à l’après-retraite. Je ne pense pas à faire de la musique car je ne suis pas dans le jeu pour la scène, j’ai la capacité à retenir les paroles mais je ne suis pas chanteur, je ne me voile pas la face.

Les Masters, ça représente quoi pour vous ?

C’est un peu le titre qui fait plaisir parce que c’est une manière de montrer qu’on n’oublie pas les meilleurs de ce jeu. On essaye d’être le meilleur des meilleurs et c’est plutôt interessant de se lancer dans ce challenge. C’est une manière de se dire ‘Ok je suis là’. C’est le moment de retrouver les copains de l’émission et ça c’est plutôt cool même si on se retrouve parfois en dehors.

Vous les avez déjà remportées en 2021. Vous vous sentez prêt à aller jusqu’au bout de la compétition cette année aussi ?

Je n’y vais pas en conquérant et je n’y suis jamais allé dans cet état d’esprit-là. Je ne me suis jamais dit ‘Je veux gagner les Masters’. En revanche, ce que je voulais c’était embêter les copains en haut du classement, les titiller un peu et leur montrer que le classement n’était pas forcément signe de qualité du parcours d’un Maestro. J’aimerais...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi