Météore inhabituel ou technologie extraterrestre ? Des scientifiques analysent d’étranges fragments

À 61 ans, l’astrophysicien israélo-américain Avi Loeb s’est imposé comme l’un des plus éminents scientifiques à défendre ouvertement l’hypothèse de visites extraterrestres dans notre proche banlieue, voire sur Terre. Il s’est fait connaître du grand public en déclarant qu’Oumuamua, premier astéroïde interstellaire repéré en 2017 dans le Système solaire, pouvait être un engin artificiel en raison de sa trajectoire insolite.

À lire aussi 2022, année charnière pour les ovnis

Depuis, l’enseignant à Harvard multiplie les prises de position chocs qui ne lui ont pas valu que des amis dans le milieu universitaire.

Mais cette fois, Avi Loeb tient peut-être enfin la preuve tangible que ses théories ne se résument pas à des élucubrations. Le professeur affirme avoir mis la main sur des objets métalliques dont la composition ne correspond à aucun alliage connu dans le Système solaire. Il s’agit de 700 sphères minuscules retrouvées au fond de l’océan Pacifique.


Ces débris proviendraient de la chute d’un météore survenue en janvier 2014, au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Plusieurs éléments, en particulier la vitesse exceptionnellement élevée du bolide, nommé IM1, suivi par des satellites américains, ont permis de déterminer avec une quasi-certitude que, comme Oumuamua, il ne provenait pas de notre système solaire. Cette origine interstellaire a été confirmée en 2019 par un courrier officiel du directeur du commandement spatial des États-Unis transmis à la NASA.

Dès ...


Lire la suite sur ParisMatch