Sur le front (France 5) : Hugo Clément enquête sur les effets du réchauffement climatique sur les arbres

© Winter Productions

Sauver les arbres

Bon nombre d’entre eux sont sacrifiés en ville au profit de projets immobiliers. Des défenseurs de la nature n’hésitent pas à grimper aux arbres pour les sauver. C’est ainsi qu’un militant est resté perché onze jours, près de la tour Eiffel, dans un platane condamné à disparaître pour permettre la construction d’une bagagerie pour touristes. La mairie de Paris a finalement renoncé au projet.

Planter sans se planter

En milieu urbain, certains platanes n’arrivent pas à se développer, conservant une taille évoquant le bonsaï. Les raisons ? Trop de béton à leurs pieds et pas assez de terre pour recueillir l’eau de pluie qui viendra baigner leurs racines. À moins que la terre choisie n’ait été trop tassée, renfermant du goudron. Pas très sain.

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L’eau rafraîchit : ça coule de source

Du fait de la transpiration végétale, un grand chêne peut libérer jusqu’à 1 000 litres d’eau par jour. Aussi, aux racines d’un arbre, le mercure chute en moyenne de 26 °. Il n’y a donc rien de mieux que l’eau pour se rafraîchir. D’ailleurs, quelques villes cassent le bitume pour que des rivières souterraines rejaillissent à la surface, tandis que par un système ingénieux, le stockage de l’eau sous des habitations fait baisser la température. Un système moins polluant que la climatisation.

Sur le front, lundi 4 septembre à 21h05 sur France 5

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