« Le flic de Beverly Hills » sur Netflix : Pourquoi l’année 1984 tient une place de choix dans la pop culture

GOLDEN EIGHTIES - Le film est sorti au cours d’une période d’une productivité et d’une créativité hallucinantes

Quarante ans après sa première apparition, Axel Foley, l’inspecteur de police un peu barge interprété par Eddie Murphy, vient de faire son retour dans Axel F., le quatrième volet de la saga culte Le Flic de Beverly Hills, désormais diffusée par Netflix.

On ne sait pas si la sauce prendra aussi bien qu’à la sortie du premier volet, qui avait récolté plus de 300 millions de dollars au box-office mondial. Pas dingue, comparé à des cartons comme Vice-Versa 2, qui cumule déjà un milliard de dollars de recettes en trois semaines d’exploitation, mais… c’était carrément é-nor-me, en 1984.

1984 au cinéma

Et c’était d’autant plus méritoire que cette année particulière reste, culturellement parlant, l’une des plus prolifiques et les plus débridées de toute la décennie « eighties »…

Rendez-vous compte qu’au cinéma sont sortis, cette année-là, des films (américains) aussi inoubliables que Scarface, de Brian De Palma, À la poursuite du diamant vert, de Robert Zemeckis, Conan le destructeur (Richard Fleischer) et Terminator (James Cameron), tous deux avec Schwarzie, L’histoire sans fin, de Wolfgang Petersen, Gremlins, de Joe Dante et SOS Fantômes, d’Ivan Reitman !

1984 sur les platines

Mais Le Flic de Beverly Hills doit aussi une partie de son succès à la chanson de son générique, l’entêtante Axel F., spécia(...) Lire la suite sur 20minutes

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