Coupe du monde de Rugby 2023 et canicule : quel impact sur les joueurs ?

Au coup d’envoi de France-Nouvelle Zélande vendredi soir (21H15), ce ne sont pas seulement les spectateurs du Stade de France qui chaufferont l’atmosphère, mais aussi le thermomètre : 29 degrés (32 C ressentis), un 8 septembre -soit plus d’une semaine après la fin de l’été météorologique — sont attendus à Saint-Denis, en banlieue de Paris.

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Pas de quoi effrayer néanmoins l’arrière des Bleus Thomas Ramos, qui rappelait mercredi s’être « préparé tout l’été avec des chaleurs comme aujourd’hui ». Il espère en outre qu’il « fera un peu plus frais » qu’en journée.

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Alors que Météo-France a placé 14 départements des régions Île-de-France et du Centre-Val de Loire en vigilance renforcée, la chaleur sera en effet plus intense encore pour les matches du week-end en diurne, à Bordeaux, Marseille, Saint-Etienne et Toulouse, avec parfois plus de 35C à l’ombre.

World Rugby imposera en conséquence des « pauses fraîcheur » durant chacune des deux périodes de ces rencontres, et ce jusqu’à la fin programmée de la vague de chaleur en début de semaine prochaine. Ce dispositif avait déjà été mis en place au Japon en 2019, lors du précédent Mondial.

Ces jours-ci, l’ouvreur irlandais John Sexton, qui a évolué au Racing 92, ne masquait pas sa surprise, avant d’affronter la Roumanie à Bordeaux samedi après-m...


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