Ce soir sur Arte : pourquoi Mensonges d'Etat avec Leonardo DiCaprio a provoqué la fureur de l'Iran
Ancien journaliste de guerre devenu agent, Roger Ferris travaille pour la CIA au Moyen-Orient. Il est chargé de traquer Al-Saleem, un des chefs d’Al-Qaïda, qui se cache en Jordanie pour préparer des attentats contre l’Occident. Pour infiltrer le réseau du terroriste, Ferris doit d’abord gagner la confiance du patron des renseignements jordaniens.
Avec Ed Hoffman, son très roué chef de division qui le supervise depuis Washington, ils décident d’appâter Al-Saleem en lui faisant croire à l’expansion d’une nouvelle confrérie djihadiste concurrente. Mais Hoffman est-il vraiment fiable et ne joue-t-il pas un double jeu ?
Avec Mensonges d'Etat, thriller d’espionnage sorti en 2008 et s'inscrivant clairement dans la veine de ces productions hollywoodiennes mettant en scène une Amérique toujours en guerre contre le terrorisme islamiste, Ridley Scott plonge Leonardo DiCaprio dans les méandres des conflits modernes, entre Bagdad et Amman. Pour livrer au bout du compte une intrigue assez captivante, mélangeant High Tech, réalité et fiction.
Mensonges d'Etat est aussi la révélation d'une lumineuse actrice d'origine iranienne, Golshifteh Farahani, qui, grâce au film, met un pied en dehors des frontières de l'Iran. Elle y campe l’infirmière jordanienne Ashaï, qui charme Roger Ferris.
Pour ce rôle, l’actrice est claire avec le réalisateur : elle garde ses vêtements et son voile. Le contrat est signé et Golshifteh se transforme alors en symbole d’espoir et de libert&
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