Slow sex : qu'est-ce que c'est et comment le pratiquer ?

Prudence, ralentir. Vous n’êtes pas aux abords d’une école, mais il va quand même falloir jouer du frein. La sexualité d’aujourd’hui est bien souvent claquée sur la notion de performance. "Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort", conclut très justement Olivier Mine, à la fin de chaque Fort Boyard. Et si cette quête de l’orgasme était un leurre ? Pourquoi ne pas focaliser sur le chemin plutôt que sur l’objectif ? Le slow sex, c’est miser sur la tortue quand beaucoup se la joue levrette. On vous décortique cette nouvelle tendance.

Lancée par Nicole Daedone aux États-Unis, la mouvance slow sex se développe en France depuis quelques années. Elle allie une sexualité dite "en pleine conscience" et certaines formes de méditation. Anne et Jean-François Descombes, auteur·rice·s de Le slow sex : S’aimer en pleine conscience, aux éditions Marabout, définissent, entre autres, trois grands fondements :

La sexualité dite "conventielle" poursuit un seul objectif, l’orgasme, restreignant le champ des possibles et cherchant à l’atteindre par le chemin le plus court. Bien souvent, la pénétration est vue comme l’apogée de l’acte, reléguant les "préliminaires" à des préparatifs fastidieux – à l’image de la distribution des cartes au Uno avant de lancer la partie. Le slow sex vise à se reconnecter avec ses sensations, à faire monter le plaisir en cessant de visualiser l’orgasme. Pratiquer le slow sex c’est aller à l’encontre de ses images mentales, les mettre de côté pour saisir (...)

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