Sexualité : quelle est la fréquence des rapports sexuels dans un couple

C'est un fait avéré, la génération Z, Y, et les millennials feraient moins l'amour que les générations précédentes, ce que la journaliste américaine Kate Julian appelait déjà en 2018 "la récession sexuelle". Du haut de ses six petits caractères, la libido fait peser sur nos épaules le poids des contraintes sociales : pour être heureux et en bonne santé, dit-on, il faudrait faire l'amour, souvent. Une vie sexuelle épanouie, soutenue, cadencée, aurait de nombreux bienfaits sur la santé mentale et physique, à l'inverse, l'abstinence est souvent louche ou vue d'un mauvais œil. Parce qu'éreintés, lassés, soucieux, déprimés, ennuyés, certaines personnes manquent en effet d'appétit sexuel, mais devons-nous sans cesse répondre à la norme et suivre nos congénères en matière de sexe ? Le sexe n'est-il pas aussi le reflet de notre image, tantôt passionné, inconstant, libre ? Pour répondre aux inquiétudes de ses patients, un psychologue américain s'est penché sur le sujet, et rappelle qu'en matière d'intimité sexuelle, la qualité est plus importante que la quantité.

Dans la revue Psychology Today, le psychologue clinicien en question, Simon Sherry, observe d'abord que les couples modernes, en particulier ceux des générations Z et Y, auraient tendance à faire moins l'amour que leurs aînés. Qui sont-ils et pourquoi semblent-ils ainsi se détourner de l'acte sexuel ? D'après ses recherches, trois raisons peuvent justifier cette baisse de régime. La première est d'une logique implacable : avec (...)

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