Sous la Seine (Netflix) : un cadavre trouvé en plein tournage !

L’organisation d’épreuves nautiques des JO dans la Seine a visiblement inspiré le réalisateur et scénariste Xavier Gens, à l’origine de Sous la Seine. Dans le film catastrophe sorti le 5 juin dernier sur Netflix, on suit en effet la course contre la montre de Sophia (Bérénice Bejo), une brillante scientifique, Mika (Léa Léviant), une jeune activiste passionnée d’écologie et d’Adil (Nassim Lyes), un commandant de la brigade fluviale pour mettre la main sur un grand requin perdu dans les eaux du fleuve traversant Paris alors que la ville est sur le point d’accueillir les championnats du monde de triathlon.

Les coulisses du tournage de Sous la Seine

Actuellement numéro 1 du Top 10 des films aujourd’hui en France sur la plateforme, Sous la Seine a été tourné dans des conditions particulières, comme l’a raconté le réalisateur dans un entretien accordé à L’Équipe. "C'était compliqué, très technique. Il fallait pouvoir anticiper toutes les problématiques sous-marines. Il y a eu beaucoup de préparation. Bérénice a dû travailler pour être capable de nager à 9 mètres sous l'eau en apnée. Nassim Lyes, lui, avait une phobie de l'eau, ça l'a guéri", a-t-il confié. Précisant que le tournage a été réalisé "sous haute surveillance", Xavier Gens a expliqué n’avoir pu tourner que "3 heures" par jour dans la Seine et uniquement tôt le matin, "entre 7 et 10 heures", un créneau qui est le seul "où il est possible de bloquer le fleuve". "On a tourné tous nos passages de zodiac, notamment sous les ponts, pendant ces trois heures. Et après 10 heures, on pouvait s’immiscer dans la circulation, mais interdiction d’être statique ou de faire demi-tour n’importe où". Et ce n’est pas la seule difficulté à laquelle l’équipe a dû faire face pour ce tournage. Xavier Gens a ainsi raconté qu’ils avaient trouvé, le premier jour, un cadavre. "Il flottait entre deux péniches sur le quai de l’Hôtel d...

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