“Je savais, j'ai fait exprès” : ce mot honni par son invitée volontairement lâché par Léa Salamé en plein direct

Ce mercredi 11 mai, Léa Salamé et Nicolas Demorand recevaient Annie Ernaux dans la matinale de France Inter. L'écrivaine et professeure de lettres a publié un nouveau livre, baptisé Le jeune homme, sorti dans les librairies le 5 mai dernier. Ainsi, à l'occasion de sa promotion, l'écrivaine était présente sur le plateau de la radio publique. Mais une question du journaliste a quelque peu déstabilisé Annie Ernaux : "Quels sont vos 'héritiers' Annie Ernaux dans la jeune génération d'écrivains ?"

Une question difficile pour l'auteure : "C'est très difficile de parler d'héritage en littérature". Mais Nicolas Demorand veut en savoir plus : "Vous avez des proches, des courants de pensée...", déclare-t-il au micro de France Inter avant d'être coupé par Léa Salamé qui cite alors des noms d'écrivains : "Edouard Louis, Nicolas Mathieu". Annie Ernaux répond alors : "Nicolas Mathieu, oui, mais je veux dire pas seulement Mais je suis très heureuse effectivement de voir que..." "Qu'ils se revendiquent de vous", la complète Léa Salamé avant de prononcer un mot que l'écrivaine déteste : "Qu'ils sont fans".

Léa Salamé : "Vous n'aimez ni le mot fan, ni être une icône"

Une phrase qui a fait bondir Annie Ernaux : "Je n'aime pas ce mot-là..." Mais la journaliste de France 2 avoue avec un petit sourire qu'elle a employé ce mot de façon volontaire : "Je sais, j'ai fait exprès : Vous n'aimez ni le mot fan, ni être une icône". "Je préfère encore le mot fan plutôt (...)

Lire la suite sur Closermag.fr

Jesse Williams (Grey's Anatomy) nu sur scène : cette vidéo volée qui fait grimper la température et scandalise
"C'est pas exclu" : Laurent Ruquier et son compagnon Hugo Manos en route vers la paternité ?
Obsèques de Régine : Michel Sardou, Dave, Pierre Palmade... Pourquoi ils n'y sont pas allés
Enrique Iglesias et Anna Kournikova : au top, le couple discret partage un beau moment avec ses trois enfants
"Faut arrêter le massacre" : Sarah Abitbol réagit à l'affaire PPDA