Les Sandales blanches (France 2) - Amel Bent : "Comme Malika, j’ai dû affronter la barrière sociale…"

Comment vous êtes-vous retrouvée sur ce projet ?

Amel Bent : Je reçois souvent des propositions pour des séries ou des films. Mais comme je suis très prise par ma vie de chanteuse, je refuse. Et je me suis toujours dit que je n’étais pas une actrice. Un jour, mon manager m’appelle pour me proposer Les Sandales blanches, en me disant que les producteurs me voient dans le rôle et que je devrais au moins lire le scénario. Je lui dis que je le fais… mais en réalité, je ne le lis pas. Puis il me rappelle, insiste, et, finalement, je n’ai pas pu décrocher de la lecture. J’ai été happée par l’histoire de cette femme. Puis la rencontre avec les producteurs et le réalisateur a fini de me convaincre. Il fallait ensuite que je sois bonne, et il y avait du travail !

Comment êtes-vous devenue Malika Bellaribi ?

C’était comme un retour à l’école. Une coach m’a accueillie dans ses cours de comédie, pendant quatre mois, presque tous les jours pendant cinq heures. Il fallait que je me forme au jeu, que je m’ouvre, aussi, pour mieux incarner des personnages. Ensuite, spécifiquement pour ce téléfilm, j’ai été entraînée pour adopter les bonnes postures d’une chanteuse lyrique, et notamment la façon de remuer les lèvres, d’être dans les temps du chant lyrique, qui est diamétralement opposé à la variété. Malika elle-même m’a aussi coachée. C’est elle qui chante dans le téléfilm, il fallait donc que je la suive à la perfection.

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