Sam (TF1) - Amaury de Crayencour : "J’ai opéré une vraie transformation physique pour ce tournage"

Vous campez Maxime, le nouveau propriétaire du château, qui abrite l’école. Qui est-il ?

Amaury de Crayencour : C’est le neveu d’Anne-Marie (Chantal Ladesou). En apparence, il débarque pour sauver les meubles… Mais, en réalité, il a acheté le château pour le raser et faire un hôtel de luxe. Maxime est présenté, dès le départ, comme le sale type assumé. C’est un connard, quoi ! (Rires) Bien sûr, on va finir par se rendre compte qu’il a des failles. C’est très jouissif de jouer ce genre de personnage, car ça donne forcément lieu à des situations rocambolesques.

Il y a notamment cette scène, où les profs se réunissent pour l’admirer durant son entraînement de boxe…

J’ai opéré une vraie transformation physique pour ce tournage. Quand j’ai lu les scénarios, j’ai constaté que Maxime était torse nu la moitié du temps. C’était en janvier de l’année dernière, juste après les fêtes, et je me suis dit : « Bon, il va falloir s’y mettre ! » J’ai donc fait appel à un coach, Magide, qui est incroyable, aussi bien pour le sport que la nutrition. Ensemble, on a réalisé un formidable travail pour arriver à un résultat qui me satisfait : j’ai pu tomber la chemise sans avoir honte !

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Maxime semble également avoir un passé complexe avec Laurent, le personnage incarné par Thierry Neuvic…

Le combat de coqs qui se joue entre eux est génial. D’un côté, on a Laurent, le maire du village, qui représente l’homme responsable, sérieux. De l’autre, il y a Maxime, le jeune fêtard millionnaire, qui écrase tout sur son passage. Sam se retrouve entre ces deux feux, ne sachant pas lequel choisir, entre la stabilité et le vice.

Avec Hélène de Fougerolles, vous étiez donc les deux petits nouveaux sur le plateau. Cela vous a-t-il rapprochés ?

Oui, vraiment ! Déjà, Hélène est une personne et une comédienne extraordinaire. Elle est humble, simple, sensible, et elle est tout le temps gagnée par le doute. Moi, j’aime les gens qui doutent, comme dit la chanson d’Anne Sylvestre. Il s’agissait de ma quatrième collaboration avec le...

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