La saga "Hunger Games" fait son grand retour au cinéma

Onze ans après la sortie du premier volet, la saga Hunger Games se décline à nouveau au cinéma. La tétralogie à succès portée par Jennifer Lawrence fait peau neuve avec la sortie en salles ce mercredi d'un prequel intitulé La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur.

Nouveau casting, nouvelle intrigue, nouvelle époque, la franchise fait table rase de son passé pour essayer de se relancer. Un pari risqué pour son réalisateur Francis Lawrence - déjà aux manettes de L'Embrasement (2013) et des deux parties de La Révolte (2014-2015) - car il faudra être à la hauteur des précédents volets regardés par toute une génération, qui ont généré 3 milliards de dollars au box office.

"J'espère qu'en entendant parler du nouveau, les gens vont avoir envie de rattrapper les vieux films", assure Francis Lawrence à BFMTV.

Inspiré d'un nouveau livre sortie en 2020

La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur qui se déroule 64 ans avant les événements de la franchise d'origine, inspirée des romans de Suzanne Collins, plonge une nouvelle fois les spectateurs au cœur d'un régime totalitaire imaginaire ponctué par des jeux mortels: les Hunger Games.

Mais, contrairement à ses prédécesseurs, ce prequel, également inspiré d'un roman éponyme de Suzanne Collins, sorti en 2020, fait le pari de s'intéresser à la jeunesse du méchant Coriolanus Snow (Tom Blyth), bien avant qu'il ne devienne le président tyrannique des films d'origine. Il est choisi comme mentor d'une jeune Tribut, Lucy Gray Bird, incarnée par Rachel Zegler (West Side Story, Shazam! 2).

"Elle (Suzanne Collins) a commencé à l'écrire en secret, elle ne m'a pas prévenu avant la fin de 2019. Et là elle m'a dit: 'devine quoi, surprise, j'ai écris un nouveau livre. Une fois que j'aurai fini le travail avec mon éditeur, j'aimerais que vous le lisiez", confie Francis Lawrence.

Outre Tom Blyth et Rachel Zegler, sont également présents au casting les comédiens Viola Davis, Peter Dinklage (Game of Thrones) et Hunter Schafer (Euphoria).

Article original publié sur BFMTV.com