La série sur les Sex Pistols se dévoile dans une bande-annonce

Les membres des Sex Pistols en 1996 à Londres. De gauche à droite : Paul Cook, John Lydon, Steve Jones et Glen Matlock. - Johnny Eggitt - AFP
Les membres des Sex Pistols en 1996 à Londres. De gauche à droite : Paul Cook, John Lydon, Steve Jones et Glen Matlock. - Johnny Eggitt - AFP

Pistol, la série réalisée par Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionaire) consacrée à la carrière des Sex Pistols va débarquer le 31 mai sur Disney+. Mais avant sa sortie, FX a dévoilé un avant-goût du projet, adapté des mémoires du guitariste du groupe, Steve Jones (Lonely Boy : Tales from a Sex Pistol), dans une bande-annonce.

Ce trailer, qui dure un peu moins d'une minute donne un premier aperçu de ce que promet cette série en six épisodes. Jeunesse en révolte, coiffures audacieuses, guitares fracassées... Pistol retrace l'ascension et la chute controversées du groupe punk anglais et plonge également les spectateurs au cœur de la culture britannique de la fin des années 70.

L'écriture du projet a été attribuée à Craig Pearce a qui l’on doit les scénarios des films de Baz Luhrmann Romeo + Juliette, Moulin Rouge et Gatsby le Magnifique. Côté casting, le quatuor punk sera incarné par Toby Wallace (Steve Jones), Jacob Slater (Paul Cook), Anson Boon (John Lydon) et Louis Partridge (Sid Vicious).

La série attaquée en justice par le leader du groupe

Les Sex Pistols sont considérés comme l'un des groupes les plus influents du siècle. Même si leur carrière n'a duré que quelques années, ils ont repoussé les limites du mouvement punk-rock et ont poussé une légion de fans à remettre en question l'autorité et le statu quo.

L'année dernière, le leader et chanteur du groupe John Lydon, alias Johnny Rotten, avait attaqué le groupe en justice pour tenter d'empêcher la série d'utiliser la musique des Sex Pistols, sans succès.

Un avocat du chanteur avait déclaré que John Lydon s'était offusqué de la représentation "hostile et peu flatteuse" faite de lui dans la série, affirmant qu'il passait pour "le petit morveux agaçant qui en demande toujours plus."

Article original publié sur BFMTV.com