Le Sénégal en liesse, son équipe sera en huitièmes de finale

“Ils l’ont fait !” s’exclame le WalfQuotidien en première page. “Aliou Cissé en larmes. La célébration rageuse du capitaine, Kalidou Koulibaly, à genoux, les poings serrés. La course folle des remplaçants pour rejoindre leurs partenaires sur le terrain. Les Lions ont littéralement fait exploser leur joie au coup de sifflet final de la rencontre contre l’Équateur.”

Il faut dire, précise le WalfQuotidien, que “les champions d’Afrique en titre ont joué le couteau sous la gorge durant le dernier quart d’heure. Et quand le quatrième arbitre a indiqué six minutes de temps additionnel, l’atmosphère de la fin du match était devenue plus pesante. Car ce 2 buts à 1 en faveur des Lions était facilement démontable par les Équatoriens, qui avaient fini par assiéger les buts d’Édouard Mendy. Ouf… Le tableau d’affichage ne bougera plus. Le Sénégal s’impose au bout du suspense […]. Dominateurs dans les duels, tranchants sur les flancs, les Lions ont éteint des Équatoriens longtemps absents dans cette partie.”

“Un match de patron pour Koulibaly qui propulse les Sénégalais en huitièmes !” lance pour sa part 24 Heures à Dakar. En effet, “cette qualification des Sénégalais porte clairement la marque du capitaine, Kalidou Koulibaly, auteur d’un grand match et surtout du but décisif sur une reprise de volée. Un véritable héros !”

Des griffes bien acérées

La presse de la sous-région applaudit également… L’Observateur Paalga exulte : “On ne peut que dire bravo aux fauves sénégalais, qui ont eu les crocs suffisamment incisifs et les griffes bien acérées pour les planter dans la chair de la Banana Mecánica.”

“Vingt ans après avoir goûté aux délices d’un huitième de finale de Coupe du monde, les Lions de la Teranga marquent leur retour à l’abreuvoir, avec une soif non dissimulée, relève pour sa part Aujourd’hui au Faso. Après cette première phase, passée sans trop d’encombre malgré quelques sueurs froides, tout devient possible. Les garçons du sélectionneur Aliou Cissé, qui ont certainement appris au cours des trois matchs de poule à faire la différence entre l’ombre et la proie, vont aborder ces challenges de quitte ou double avec encore plus d’odorat et de flair.”

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