Sécurité routière : le manque de sommeil pourrait bientôt être testé, au même titre que l’alcool !

Et si somnoler au volant devenait aussi répréhensible que d’avoir bu avant de prendre la route ? C’est l’idée avancée par le gouvernement australien qui cherche par tous les moyens à réduire le nombre d'accidents liés à la fatigue. Un phénomène que l’on observe également en France où un automobiliste sur deux avoue s’être déjà endormi en conduisant et où le manque de sommeil est à l’origine d’un accident mortel sur trois.

Pour les Australiens, la somnolence est fléau à combattre au même titre que l’alcool, la drogue ou l’usage du téléphone. D’ailleurs, les plans de communications officiels sont clairs à ce sujet : conduire en ayant dormi moins de 5 heures équivaut à avoir un niveau d’alcoolémie au-dessus du seuil légal. Les effets sur la vigilance et sur le temps de réaction seraient rigoureusement les mêmes.

Pour toutes ses raisons, l’exécutif australien a financé les recherches de la professeure en neurosciences Clare Anderson, experte du sommeil à la Monarch university de Melbourne. Avec son équipe, elle a tenté de savoir si le manque de sommeil pouvait être détecté au même titre que le taux d’alcool lors d’un contrôle routier.

Dans les colonnes du journal britannique The Guardian, la scientifique explique : « Quand on regarde les facteurs principaux impliqués dans les accidents mortels, l’alcool, la vitesse et le sommeil arrivent en tête. Dans le dernier cas, la solution est très simple : il suffit de dormir davantage. Mais pour que les gens en prennent réellement conscience, (...)

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