Roqya au cinéma : Golshifteh Farahani comme vous ne l'avez jamais vue dans un thriller intense

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Un an après avoir combattu auprès de Chris Hemsworth dans Tyler Rake 2 sur Netflix, Golshifteh Farahani revient avec le film français Roqya.

Premier long métrage du cinéaste Saïd Belktibia, le film suit Nour, une mère qui vit de contrebande d'animaux exotiques pour des guérisseurs. Lorsqu’une consultation dérape, elle est accusée de sorcellerie. Pourchassée par les habitants du quartier et séparée de son fils, elle se lance alors dans une course effrénée pour le sauver.

Une chasse aux sorcières moderne

La Roqya est un exorcisme censé chasser les mauvais esprits. Pour son premier film, le réalisateur, passionné de cinéma de genre, a puisé dans sa propre enfance. Il explique dans le dossier de presse : "Orphelin de père, j’ai eu une enfance turbulente. Persuadé que j’étais possédé par un djinn (un démon) ma mère, au lieu de me gronder, m’asseyait sur le canapé du salon et faisait fondre de l'étain au-dessus d’une bassine d’eau en marmonnant des incantations. Je ne le comprenais pas à l’époque mais elle pratiquait de la sorcellerie pour tenter d’éloigner le mal de moi... Avec mon co-scénariste Louis Penicaut, nous sommes très vite partis sur l’idée d’une chasse aux sorcières modernisée."

Dans Roqya, Golshifteh Farahani se retrouve prise en chasse par les hommes de la cité ainsi que par le père de son fils incarné par l'humoriste Jeremy Ferrari dont c'est le premier rôle au cinéma.

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