Renault : son salaire validé et son règne prolongé par les actionnaires, Luca de Meo triomphe

Le sauveteur de Renault obtient sa récompense. Jeudi 16 mai, les actionnaires du constructeur automobile français ont approuvé à 72,13% la rémunération pour 2024 du directeur général, Luca de Meo, lors de l’assemblée générale (AG) du groupe. Le patron italien décroche ainsi une belle augmentation : son salaire fixe va augmenter de 31% pour atteindre 1,7 million d'euros. Un chiffre auquel il faut ajouter le salaire variable et les actions qui seront attribués sur des critères de performance. Pour rappel, entre 2022 et 2023, cette enveloppe globale avait déjà grimpé de 17% pour atteindre 5,3 millions d’euros.

À côté de son augmentation de salaire fixe, Luca de Meo va aussi profiter d'un salaire variable plus attrayant : son plafond passe de 150% du salaire fixe à 225%, même si les critères de performance pour atteindre ces 225% seront plus difficiles à remplir. En outre, son plan d'actions de performance est augmenté à 120 000 actions. «Cette augmentation reste modérée comparativement à l’attribution d’un total de 105 290 actions de performance au titre de l’année 2023», relativise Renault. Rappelons tout de même que ces actions de performance ont représenté environ 2 million d’euros... De son côté, Jean-Dominique Senard, président du groupe, disposera d’une rémunération plus modeste de 450 000 euros, qui est restée inchangée par rapport à 2023.

>> Ne ratez rien de l’actualité de l’automobile en vous abonnant à notre newsletter auto

Ces sommes importantes ne font pas l’unanimité, (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Week-end de la Pentecôte : attention, la circulation risque d’être difficile sur les routes
Voiture électrique : les batteries solides, la clé pour réduire son prix et doper son autonomie ?
Une nouvelle voiture électrique chinoise arrive en France, devinez son prix…
Citroën : des propriétaires de C3 et de DS3 appelés à «cesser immédiatement de conduire» leur véhicule
Affaire des pneus Goodyear : perquisitions de grande ampleur en France, Belgique et Luxembourg