Renault Austral : que vaut l’entrée de gamme ?

Pour enfin se positionner confortablement sur le marché des SUV du segment C, Renault a fait table rase du passé. Et donc des (relatifs) échecs des Koleos et Kadjar. Pour l'occasion, le constructeur français repart d'une nouvelle plateforme. Il inaugure une nouvelle dénomination censée évoquer le champ illimité des possibles : Austral. Le nouveau venu reprend les codes stylistiques de la nouvelle Mégane E-Tech électrique. Notamment ses phares étirés et la double signature lumineuse à l’arrière en forme de « C ».

Pour le reste, le SUV se veut assez musclé, arbore des boucliers au design dynamique. Des arêtes sur les flancs et des passages de roues bien marqués. Renault a aussi particulièrement soigné l’habitacle qui profite de matériaux de qualité et d’un espace généreux. Les rangements étant nombreux et l’ergonomie réussie. Le catalogue comprend des hybridations légères 12V (1.3 l 140 ou 160 ch) et 48 V (1.2l 130 ch). Ainsi qu'une motorisation "full hybride" basée sur le bloc essence 1.2 litre, proposée en 160 et 200 ch.

Le point zéro des Austral

Mais que vaut l’Austral d’entrée de gamme ? D’une manière générale, si le prix des entrées de gamme est si alléchant, c’est parce qu’elles sacrifient le confort. Tout comme les équipements, et les dotations de sécurité. Mais contrairement à ce qui se faisait encore il y a quelques années, pas cher ne signifie plus laid. Souvenez-vous, auparavant, les entrées de gamme étaient des modèles avec pare-chocs en plastique noir, sans enjoliveurs voire sans carénage de projecteurs ! Les productions actuelles ont plus de goût, et ne manquent pas de...Lire la suite sur Autoplus