Renault arrête l'auto-partage à Paris : les détériorations sont trop importantes

Tous ceux qui circulent en voiture voire même en deux-roues dans Paris et en proche banlieue seront unanimes pour dire que ça ne sert pas à grand-chose d'avoir un véhicule neuf pour se déplacer dans les rues de la capitale.

Entre un trafic très dense dans certaines zones, pour ne pas dire la quasi-intégralité, les radars, le tarif des places de stationnement, la cohabitation parfois compliquée avec d'autres modes de transport... Circuler en voiture ou en deux-roues dans Paris relève du parcours du combattant.

L'auto-partage, un secteur qui a du mal à prendre, même pour Renault

Et ça ne concerne pas seulement les particuliers. Les entreprises aussi sont soumises à ces contraintes, à commencer par les professionnels (de la livraison notamment) qui allouent un budget conséquent chaque année en contraventions, stationnement et réparations en tout genre. Et pour les services d'auto-partage, c'est pareil ! Nous pouvons même élargir le spectre aux services de partage d'une manière générale. Il n'y a qu'à voir l'état de certains Velib' ou encore celui des trottinettes en libre-service avant que les Parisiens n'aient décidé de les bannir des rues de la capitale. D'une manière générale, dans les grandes villes, notamment à Paris, l'auto-partage est un service qui a du mal à prendre, et la jeune marque du groupe Renault, Mobilize, en a fait les frais.
Pour rappel, Mobilize est, depuis 2021, spécialisée dans les mobilités au sens large. Covoiturage, location courte durée, service d’autopartage, elle doit permettre au groupe français de réaliser sa transition vers la mobilité de demain. La marque propose déjà des services complémentaires à l’achat ou à la location de modèles du groupe, comme des services de financement (Mobilize Financial Services,...Lire la suite sur Autoplus