Elles relèvent le défi du mois sans sucres ajoutés : «Assez vite, on observe des bienfaits»

Après le Dry January et le mois sans tabac, faites place au mois sans sucres ajoutés. Depuis une semaine, Anne a appris à reconnaître les 52 appellations du sucre, «qui se terminent globalement toutes en -ose : fructose, glucose, saccharose, galactose, et xylose...». A 57 ans, confrontée à des problèmes de foie et de cholestérol, elle a découvert par hasard le défi «Juin sans sucres ajoutés», lancé par l’association SOS Hépatites et maladies du foie. En rejoignant le groupe Facebook du collectif, elle a trouvé une véritable «mine d’informations et d’outils», un accompagnement pour tenir dans la durée, et une communauté pour se sentir moins seule. «Je surveillais déjà mon alimentation depuis plusieurs années à cause de problèmes de santé, ce qui me plaît ici c’est l’idée de trouver un soutien précieux», raconte-t-elle.

Car c’est bien connu désormais : le sucre est partout dans notre alimentation. Une récente étude de l’Anses révèle que 77% des produits présents dans les rayons de supermarchés contiennent des sucres ajoutés, notamment les aliments transformés, qu’il s’agisse de produits sucrés mais aussi salés. C’est ainsi que l’on retrouve du sucre dans de la charcuterie, des pizzas ou des salades vendues en supermarché. Par conséquent, «en France, la consommation moyenne de sucre est de 90 grammes par jour, alors que l’OMS recommande de ne pas dépasser 25 grammes», soit six cuillères à café, rappelle le docteur Mélin au journal 20 Minutes. Un seuil largement dépassé rien qu’avec (...)

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