"On nous regardait avec beaucoup de condescendance" : Stéphane Bern et Laurence Boccolini évoquent sans filtre leur rôle de commentateur à l'Eurovision

Stéphane, vous allez commenter l’Eurovision pour la quatrième année consécutive avec Laurence Boccolini. Quel regard portez-vous sur votre duo ?

Stéphane Bern : On s’entend très bien. On se complète, on ne se marche pas sur les pieds. C’est très agréable de commenter avec Laurence, parce qu’elle a d’abord une vraie oreille musicale et elle aime l’Eurovision depuis qu’elle est toute petite ! Moi aussi, car chez mes grands-parents à Luxembourg, il y avait la télévision, donc je regardais l’Eurovision là-bas. Donc vous imaginez ma joie cette année avec le retour du Luxembourg ! J’ai aussi un challenge, qui est de devenir celui qui a commenté l’Eurovision le plus de fois ! J’en suis à 11 avec cette édition, le record de Pierre Tchernia est à 12, donc j’ai encore un an à tirer !

Laurence, que représente l’Eurovision à vos yeux ?

Laurence Boccolini : Mes premiers souvenirs de l’Eurovision remontent à quand j’avais trois ou quatre ans. C’était quelque chose qu’on regardait vraiment en famille. J’ai toujours ce petit battement au cœur quand la musique retentit. Et ce que je regardais, je le commente ! Ça boucle la boucle. Quelles que soient les conditions, on a du plaisir à le faire, vraiment.

C’était donc votre rêve depuis toujours de le commenter ?

LB : Jamais ! Je le regardais religieusement et jamais je n’aurai pensé un jour le commenter.

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Comment vous y prenez-vous pour commenter cette soirée particulière ?

SB : La première partie de l’émission, c’est « no comment ». Les gens découvrent et veulent entendre les chansons, ce ne sont pas nos commentaires qui les intéressent, ça les saoule. C’est au moment des votes où l’on peut se lâcher et s’amuser. On a un gra...

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