Comment rafraîchir son intérieur de manière écologique ?

En 2016, 14 % des logements de particuliers étaient équipés en climatisation. Quatre ans plus tard, ce chiffre a augmenté de 11 points, passant à 25 %, selon un rapport de l'ADEME, l'Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie. Et c'est bien compréhensible, compte tenu de l'augmentation de la durée et de la fréquence des périodes de fortes chaleurs : 2 fois plus sont à prévoir d'ici 2050 en France, informe Méteo France.

"Pour que l'exceptionnel ne devienne pas la norme, il faut réduire nos émissions de gaz à effet de serre de manière immédiate, soutenue dans le temps et dans tous les secteurs", alertait sur Twitter le climatologue Christophe Cassou, revenant sur l'épisode de canicule de juin 2019 qui avait battu des records de température. Dans le cas où les sociétés n'adopteraient aucune politique en faveur du climat, l'un des scénarios RCP du GIEC (4 profils d'évolution des concentrations des gaz à effet de serre), prévoit des vagues de chaleur étalées sur une période de mai à octobre, avec une survenance de trois années sur quatre.

Si la climatisation, très énergivore, a bien un impact sur l'environnement, l'idée n'est pas de se sacrifier pour le climat, en se privant totalement de fraîcheur artificielle. Mais dans ce contexte d'urgence climatique, veiller à limiter sa consommation personnelle réduit les risques de pics énergétiques et restreint les retombées sur l'environnement. Quels sont les modes de climatisation les moins impactant ? Quelles autres solutions, (...)

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