R5 électrique : le modèle qui fait du bien à Renault

Incontestablement, c’est bien elle la vedette du 91e salon automobile de Genève : la Renault R5 E-Tech. La version de série de ce modèle électrique tant attendu a été révélée ce lundi 26 février, en première mondiale sur le stand de la marque, seule française représentée. Après plus de trois ans de teasings, on connaît enfin tous les contours de son look, son gabarit, son intérieur, son autonomie de batterie, son prix, etc. Il ne serait pas étonnant que la petite citadine R5 séduise les automobilistes français, tant elle va savoir capter les plus nostalgiques, par la reprise des codes de la R5 de 1972, et conquérir de nouveaux clients via son passage à l’électrique. Le directeur général de la marque Renault, Fabrice Cambolive, explique pourquoi cette R5 modernisée, à 25 000 euros, commercialisée au second semestre 2024, sera un véhicule gagnant et un élément moteur pour la marque.

Capital : Vous la «teasez» depuis trois ans cette R5… En quoi cette voiture est si importante pour Renault ?

Fabrice Cambolive : Nous ne considérons pas ces années comme du teasing, mais plutôt comme un acte de management, à la fois en interne et vis-à-vis de l’externe. Notre R5 est un peu notre étoile polaire, pour l’ensemble des collaborateurs. Car nous avons tous été rapidement d’accord sur le choix de «refaire cette voiture». Une unanimité liée au fait que ce véhicule, de 1972 à 1996, a prouvé qu’il a été gagnant en termes de ventes, d’innovation, il a apporté une nouvelle réponse à la mobilité et (...)

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