Le réalisateur des Evadés voulait que sa première scène soit parfaite mais il est allé trop loin : 9 heures de tournage et un bras en écharpe
Brillante adaptation de la nouvelle Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank, écrite par Stephen King et parue dans le recueil Différentes saisons, Les Evadés est devenue au fil des ans et par le bouche-à-oreille une oeuvre absolument culte. Un spectacle lyrique, cruel et bouleversant porté par de fabuleux comédiens, Tim Robbins et Morgan Freeman en tête, qui fera même son entrée en décembre 2015 au prestigieux catalogue de films de la Bibliothèque du Congrès américain.
L'intervention de Freeman pour sensiblement modifier la fin n'a rien changé au destin fracassé du film au Box Office : il ne rapporta même pas 30 millions de dollars. Un premier galop d'essai compliqué pour Frank Darabont, qui signait là son premier long métrage, même s'il avait déjà adapté en 1983 une nouvelle de Stephen King intitulée The Woman in the room en court métrage.
"La rumeur dit que t'es un mec très froid !"
La passion pour le matériau d'origine chevillée au corps, Darabont écrira le scénario des Evadés en 15 jours à peine. Puisqu’il s’agissait de son premier film au cinéma, il voulait que tout soit parfait. Pour raconter l'histoire d'Andy Dufresne (Robbins), un jeune banquier condamné à la prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant, et de Red Redding (Freeman), un homme emprisonné depuis plus de 20 ans, Darabont voulait que la toute première scène entre les deux soit vraiment puissante.
Un élément d'autant plus important à ses yeux qu'il introduisait…
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