Psycho : stop aux kilos émotionnels

Nourriture doudou ou aliments refuge : nous mangeons parfois en mode pilote automatique. Mais sous la pression des émotions, l’organisme libère du cortisol, qui favorise le stockage des graisses. Ajoutons à cela que notre cerveau nous joue quelquefois des tours : dès que l’on consomme du sucre et du gras, il déclenche un afflux de sérotonine et d’endorphines, qui nous plongent dans un état de bien-être. Bizarrement, cela n’arrive jamais avec une assiette de brocoli !

Identifier le problème

Manger pour se sentir mieux, c’est normal, mais lorsque cela devient la seule réponse à une émotion, il est important de se faire aider en commençant par un travail psycho thérapeutique. Si vous vous sentez d’attaque, vous pouvez aussi reprendre le pouvoir sur votre vie, ce que la coach Johanne Averdy nomme « le programme happy body ». Ça passe par apprendre à dire non, s’affranchir du regard des autres, accepter ses imperfections, s’éloigner des personnes toxiques, se libérer des blessures du passé et, surtout, s’offrir le meilleur, car vous le méritez.

Quand la nourriture vous manipule

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Christèle Albaret, psychosociologue, décrypte à la perfection notre rapport à l’alimentation. À travers des cas précis, elle donne les clés pour prendre conscience des rapports que nous entretenons avec la nourriture et arriver à la food positive attitude.

Larousse, 17,95 €.

Mon cahier kilos émotionnels

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