Procès de Trump, tensions Iran-Israël, élections en Inde… La semaine en images

À New York (États-Unis), le 16 avril 2024. L’ancien président américain Donald Trump en visite dans le quartier de Harlem. . PHOTO SPENCER PLATT/GETTY IMAGES/AFP
À New York (États-Unis), le 16 avril 2024. L’ancien président américain Donald Trump en visite dans le quartier de Harlem. . PHOTO SPENCER PLATT/GETTY IMAGES/AFP

Le 15 avril s’est ouvert le procès pénal de Donald Trump. Avant sa campagne de 2016, son avocat a versé 130 000 dollars à l’actrice porno Stormy Daniels pour cacher une relation à caractère sexuelle. Le paiement avait été maquillé sous forme de frais juridiques et constitue une fraude électorale. Le procès, une première pour un ancien président américain, mettra à l’épreuve sa stratégie de défense faite de “déni et de dénigrement”, souligne The Washington Post.

À Téhéran (Iran), le 15 avril 2024. Un panneau d’affichage montre des missiles iraniens avec cette mention en persan : “Israël est plus faible qu’une toile d’araignée.”. PHOTO ATTA KENARE/AFP
À Téhéran (Iran), le 15 avril 2024. Un panneau d’affichage montre des missiles iraniens avec cette mention en persan : “Israël est plus faible qu’une toile d’araignée.”. PHOTO ATTA KENARE/AFP
À Téhéran (Iran), le 15 avril 2024. Un panneau d’affichage montre des missiles iraniens avec cette mention en persan : “Israël est plus faible qu’une toile d’araignée.”. PHOTO ATTA KENARE/AFP
À Téhéran (Iran), le 15 avril 2024. Un panneau d’affichage montre des missiles iraniens avec cette mention en persan : “Israël est plus faible qu’une toile d’araignée.”. PHOTO ATTA KENARE/AFP

La nuit du 13 au 14 avril, l’Iran a lancé plus de 200 drones et missiles contre Israël, en réponse à une frappe contre son consulat à Damas. Pour Ha’Aretz, “il ne peut y avoir d’action plus dangereuse que la vengeance aveugle que le gouvernement israélien se dit déterminé à mener”. Car pour le quotidien de Tel-Aviv, la colère israélienne est due au “nouvel échec retentissant des services de renseignements” du pays.

À Olympie (Grèce), le 16 avril 2024. Le premier porteur de la flamme olympique, Stefanos Ntouskos, rameur d’aviron grec, la reçoit de l’actrice grecque Mary Mina. . PHOTO ANGELOS TZORTZINIS/AFP
À Olympie (Grèce), le 16 avril 2024. Le premier porteur de la flamme olympique, Stefanos Ntouskos, rameur d’aviron grec, la reçoit de l’actrice grecque Mary Mina. . PHOTO ANGELOS TZORTZINIS/AFP
À Olympie (Grèce), le 16 avril 2024. Le premier porteur de la flamme olympique, Stefanos Ntouskos, rameur d’aviron grec, la reçoit de l’actrice grecque Mary Mina. . PHOTO ANGELOS TZORTZINIS/AFP
À Olympie (Grèce), le 16 avril 2024. Le premier porteur de la flamme olympique, Stefanos Ntouskos, rameur d’aviron grec, la reçoit de l’actrice grecque Mary Mina. . PHOTO ANGELOS TZORTZINIS/AFP

Le 16 avril, la flamme olympique, allumée à Olympie, en Grèce, a commencé son périple jusqu’à Paris. La veille, Emmanuel Macron a dévoilé les plans alternatifs pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, qui doit se dérouler sur la Seine le 26 juillet, en cas de menaces sécuritaires trop importantes. “Place à la peur”, décrit Blick, qui s’interroge : “Est-il raisonnable d’envisager 300 000 spectateurs massés sur les deux rives de la Seine ?”

À Copenhague (Danemark), le 16 avril 2024. Un incendie a ravagé l’ancienne Bourse. . PHOTO RITZAU SCANPIX DENMARK/REUTERS
À Copenhague (Danemark), le 16 avril 2024. Un incendie a ravagé l’ancienne Bourse. . PHOTO RITZAU SCANPIX DENMARK/REUTERS
À Copenhague (Danemark), le 16 avril 2024. Un incendie a ravagé l’ancienne Bourse. . PHOTO RITZAU SCANPIX DENMARK/REUTERS
À Copenhague (Danemark), le 16 avril 2024. Un incendie a ravagé l’ancienne Bourse. . PHOTO RITZAU SCANPIX DENMARK/REUTERS

Le 16 avril, un incendie à Copenhague a dévasté près de la moitié de l’ancienne Bourse, “l’un des bâtiments les plus emblématiques du pays”, située au cœur de la capitale danoise, regrette Berlingske. “Un symbole de quatre siècles d’histoire commerciale danoise, un patrimoine culturel irremplaçable… Ça fait mal”, a réagi la Première ministre, Mette Frederiksen.

À Shillong dans l’État du Meghalaya (Inde), le 17 avril 2024. Un porteur achemine du matériel électoral. . PHOTO ADNAN ABIDI/REUTERS
À Shillong dans l’État du Meghalaya (Inde), le 17 avril 2024. Un porteur achemine du matériel électoral. . PHOTO ADNAN ABIDI/REUTERS
À Shillong dans l’État du Meghalaya (Inde), le 17 avril 2024. Un porteur achemine du matériel électoral. . PHOTO ADNAN ABIDI/REUTERS
À Shillong dans l’État du Meghalaya (Inde), le 17 avril 2024. Un porteur achemine du matériel électoral. . PHOTO ADNAN ABIDI/REUTERS

Les élections générales en Inde débutent ce 19 juin. La logistique donne le tournis. Jusqu’au 1er juin, explique The Print, “plus de 960 millions d’électeurs vont élire 543 membres du Parlement en votant dans l’un des 1,2 million d’isoloirs”. Parmi les 15 millions d’agents électoraux, certains doivent traverser la jungle, le désert ou escalader l’Himalaya à pied pour aller installer des bureaux de vote.—

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