Près de la moitié des voitures neuves thermiques seront concernées par un malus en 2024

L'année prochaine, si vous comptez acheter une voiture neuve thermique, il va falloir passer à la caisse. En effet, avec le durcissement du malus CO2 et l'abaissement du seuil de déclenchement du malus au poids, la facture finale pourrait vite grimper pour certains modèles.

Dans le viseur du gouvernement, après s'être attaquées aux sportives, nous retrouvons désormais les SUV qui se retrouvent d'ailleurs dans l'œil du cyclone puisque certaines villes comptent bien faire payer plus cher leur stationnement aussi.

Nos confrères de l'Automobile Magazine viennent d'ailleurs de mettre en lumière une statistique intéressante : près de 42 % des voitures neuves thermiques seront concernées par un malus en 2024. Ce sont cinq points de plus par rapport à l'année 2023.

Cela devrait représenter plus de 763 000 véhicules vendues en 2024 avec une hausse vertigineuse du malus en trois ans, de près de 80 %. Selon le rapport sénatorial, le malus moyen actuel "se situerait à un niveau légèrement inférieur à 1 000 euros".

Plusieurs voitures françaises vont être sanctionnées par le malus

Dans le détail, 17,3 % des nouveaux acheteurs paieront entre 50 et 240 euros, 13,7 % entre 260 et 740 euros, 7,5 % entre 818 et 1 761 euros, et enfin 3,6 % au moins 1 901 euros. Selon le rapport, seuls les Peugeot 308 et 3008 verront leur malus augmenter du côté des voitures françaises, avec un petit oubli concernant l'Alpine A110.

Homologuée pour 152 g/km de CO2 (jusqu’à 158 selon les options) en version de base et jusqu’à 160...Lire la suite sur Autoplus