Pouvoir et folie : selon une étude, 49% des présidents américains auraient souffert de troubles psychiatriques !

Faut-il être fou pour être un bon chef d’Etat ? Michel Kummer, psychiatre, en est persuadé : "Il faut être narcissique, c’est-à-dire croire vraiment en soi-même ; un peu paranoïaque, c’est-à-dire ne faire confiance à personne ; ne pas trop penser aux autres, c’est-à-dire prendre des décisions qui semblent être les bonnes même si elles défavorisent certains" résume-t-il dans Dans la tête des grands noms de l’histoire de France (éd.L’opportun).

Mais entre la dose de névrose nécessaire et acceptable et la camisole il y a un grand pas. L’élection de Donald Trump en novembre 2016 l’aurait-elle franchi ? Le 26 janvier 2017, quelques jours seulement après l’investiture du 45e président des États-Unis, John Gardner, un professeur de psychiatrie à l'université de Baltimore, lance une pétition. Son but : réclamer la destitution de l’homme d’affaires, selon lui "inapte à assurer ses fonctions". En quelques mois, le texte recueille la signature de 70 000 professionnels de la santé mentale. Quelques mois plus tard, Bandy X. Lee, professeure de psychiatrie à l’université de Yale, orchestrait la publication d’un ouvrage collectif intitulé The Dangerous Case of Donald Trump pour alerter elle aussi sur la dangerosité du nouveau président. Mégalomane, impulsif, dénué d’empathie, paranoïaque… Trump souffrirait d’un "narcissisme malfaisant". Autrement dit, l’homme alors à la tête de la première puissance mondiale serait un dangereux sociopathe.

Une situation inédite ? Pas exactement. La Maison blanche (...)

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