Pourquoi les origines de Mathilde la distinguent-elle des autres reines consorts ?

Fini le temps où les rois, empereurs ou princes héritiers épousaient des princesses. Et cela ne date pas d’hier.

En 1959, le prince Akihito du Japon, fils de l’empereur Hirohito, se mariait avec Michiko Shoda. Or celle-ci n’appartenait pas à la noblesse nippone. Une première dans la famille impériale japonaise. Neuf ans plus tard, c’était au tour du prince héritier Harald de Norvège, le fils du roi Olav V, de convoler avec Sonja Haraldsen, la fille d’un commerçant d’Oslo.

Les autres royautés ont suivi. Aujourd’hui, en Europe, les reines consorts sont roturières. Toutes sauf une ! Et c’est en Belgique qu’on la trouve.

Mathilde est née dans une famille aristocratique

Parmi les épouses de souverains, la reine des Belges Mathilde se distingue en effet par ses origines. Au moment de sa naissance, le 20 février 1973, son père Patrick d’Udekem d’Acoz, un aristocrate belge, fils d’un baron, est écuyer. Il sera élevé au rang de comte par le roi Albert II en 1999, au moment du mariage de Mathilde et Philippe.

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Anna Maria et Patrick d'Udekem d'Acoz, les parents de la reine des Belges Mathilde. Ici le 1er septembre 1999 © ISOPRESS SENEPART/IS / SIPA

Quant à sa mère, la comtesse polonaise Anna Maria Komorowska, elle est la fille du comte Leon Michal Komorowski et de la princesse Zofia Sapieha. Lors de la visite d’État que le roi des Belges Philippe et la reine Mathilde avaient effectué en octobre 2022 ...


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