Pourquoi est-il plus difficile de soustraire que d’additionner ?

Pour comprendre pourquoi l’opération de soustraction est plus difficile que l’addition, il convient de faire un petit point sur les méthodes d’apprentissage. En effet, selon la chercheuse Catherine Thevenot, spécialisée en psychologie et plus particulièrement en apprentissage, le fait d’apprendre à compter les chiffres par ordre croissant influence notre difficulté à soustraire par la suite. Quand ils sont bébés, les enfants ne font pas la différence entre enlever et ajouter. C’est à l’école que la difficulté apparaît avec l’apprentissage. Par la suite, les enfants puis les adultes auront tendance à faire des additions inversées plutôt que de réelles soustractions.

Il existe plusieurs manières de faire des opérations et ces dernières années, la méthode de Singapour est très appréciée pour le gain de temps qu’elle représente. Cependant, traditionnellement, l’apprentissage nous permet de faire du calcul mental pour réaliser une addition ou une soustraction. Comme il est plus difficile de soustraire que d’additionner, la méthode actuelle pour faire une soustraction consiste à additionner son opposé. Par exemple, si on souhaite soustraire (-13) - (-9) on remplace (-9) par (9) et on obtient (-4). Pour l’addition, c’est plus simple, il suffit d’ajouter le premier nombre au second, par exemple (3) + (9) = (12). Si vous détestez les maths, pas d’inquiétude, cette méthode marche à tous les coups.

Il n’y a pas de mystère, le moyen le plus rapide et efficace de faire une soustraction consiste (...)

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