"La plage, le bronzage, la fête…" : Jérémy Florès surfe sur les clichés

Il habite entre Hossegor et Tahiti, deux candidats à l'organisation des épreuves de surf aux Jeux olympiques 2024, alors forcément son cœur balance. Selon L'équipe, le site de Teahupoo devrait être proposé jeudi par le comité d'organisation. Jérémy Florès sera loin de tout ça à Hawaii, pour la dernière étape du championnat du monde (WSL). Feu d'artifice d'une année riche en émotion avec sa victoire en octobre au Quicksilver Pro France. à sept mois des JO de Tokyo, où le surf fera son apparition, le trentenaire réunionnais s'est prêté avec malice au jeu des clichés.

Le surfeur est un glandeur fumeur de joints

"Au haut niveau, ça n'existe plus. On est des athlètes. Quand je suis arrivé sur le tour, il y a quatorze ans, c'était encore rock'n'roll. Pas d'entraîneur, de kiné ou de nutritionniste. Aujourd'hui, tous les surfeurs du circuit ont un entourage d'une demi-douzaine de personnes. On a des contrôles antidopage réguliers. Après, le free surfeur en quête de nouvelles vagues, style Robinson Crusoé dormant sur la plage, ça existe. On a tous ce côté aventurier en nous. On est en quête perpétuelle d'adrénaline. Pendant très longtemps, je n'ai pas eu de limites. Mais l'océan te remet vite à ta place. Ceux qui font les beaux reviennent vite sur terre."

Vous ne prenez jamais de coup de soleil

"Faux, on prend cher! Des cloques, j'en ai eu à ne plus pouvoir m'allonger sur le lit. Parfois, on entre dans l'eau, les vagues sont magnifiques, on reste des heures et on oublie tout, y compris...


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