Peut-on avoir un arrêt de travail en cas d'allergies au pollen ?

Le printemps est l’une des meilleures saisons de l’année, sauf pour les personnes sujettes aux allergies respiratoires. En France, 20 % des enfants à partir de 9 ans et 30 % des adultes sont embêtés chaque année par les pollens, d’après le ministre de la Santé.

Difficultés respiratoires, démangeaisons, nez qui coule, conjonctivites… Une personne sur deux voit sa qualité de vie se dégrader au quotidien à cause de ses allergies, a montré un sondage Ifop paru en 2017.

Les allergies au pollen peuvent affecter la productivité au travail. On estime à 7 millions le nombre de jours d’arrêts de travail par an en France, selon une étude de 2016 des fédérations d’allergologues présentée par TF1 Info. Car en soi, il est possible d’être arrêté en cas d’allergies au pollen, mais c’est au médecin de juger si les symptômes sont assez prononcés pour empêcher le patient de travailler correctement.

Alors, c'est certain, tous ces arrêts de travail ont un coût : 1 milliard d’euros. Mais existe-t-il d'autres solutions ? Dans certaines entreprises, il est possible de changer ses jours de télétravail. Ce qui permet d’éviter aux employés de sortir lors des pics de pollen.

À l'étranger, certaines sociétés proposent des aides bien plus alléchantes. C'est le cas au Japon où quatre personnes sur dix sont concernées par des allergies au pollen. De plus en plus d'entreprises, par souci de baisse de productivité pendant la saison des allergies, envoient leurs salariés victimes du rhume des foins d’aller travailler (...)

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